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Description générale Les Infrastructures de Recherche pour l’Environnement (ENVRI) fournissent aux communautés scientifiques, aux décideurs politiques et économiques et plus généralement aux citoyens des informations sur les variables caractérisant les milieux atmosphériques, océaniques, la terre interne, les écosystèmes terrestres et la biodiversité. Ces informations, dont certaines contribuent à des réseaux internationaux de mesure, permettent la caractérisation de l'état de l’environnement et sont partie intégrante des systèmes d’observation de la Terre. Les données d’observation in-situ et d'expérimentation sont par nature très hétérogènes tant dans leur dimension spatiale et temporelle. Ainsi, le futur des sciences de l'environnement est marqué par la nécessité de l’assemblage d’informations de sources et natures très variées : - des analyses et des intégrations sur de grandes échelles spatiales et temporelles (e.g., réseaux de satellites et de capteurs), - des couplages entre des données et des modèles mathématiques ou statistiques (e.g., modèles d'écosystème ou modèles de circulation atmosphérique), - des données issues de capteurs mais également issues d’observateurs aussi bien chercheurs que grand public (e.g., suivi de populations ou sciences participatives) Les enjeux liés à cette hétérogénéité des données sont de permettre une plus grande interopérabilité entre les bases et les jeux de données issues de communautés historiquement indépendantes et fragmentées, et de natures souvent fondamentalement différentes, tout en facilitant l’utilisation de référentiels communs et de standards de métadonnées suffisamment précis pour aider à leurs réutilisations. Les conséquences pour la communauté scientifique sont fortes et l’on voit apparaitre de nouveaux métiers de type « Data Scientist » dont l’objectif est de produire des informations dites FAIR (Findable, Accessible, Interoperable and Reusable) pour la science et la société. Ceci nécessite de définir et de mettre en œuvre des standards communs pour faciliter l’acquisition, le traitement et l’annotation des données, ainsi que de nouvelles pratiques de partage et d’exploitation afin de répondre aux enjeux scientifiques d'une analyse globale de la crise environnementale actuelle, de l'amélioration de la compréhension des processus et de la modélisation prédictive. L'école thématique E-Envir dont le premier cycle est organisée en 2019 vise à répondre à cet enjeu par des actions annuelles de formation du personnel. Grands axes du programme 2019 L'école thématique 2019 sera organisée autour de trois axes prioritaires pour cette première session du cycle de formation:
Un pré-programme est disponible en ligne. Chaque journée de cours fera intervenir des spécialistes et des experts métiers de différents organismes de recherche et universités pour des cours magistraux (en matinée) et pour des travaux dirigés et pratiques (pendant l'après-midi).
Les présentations : Stéphanie Rennes Yvette Lafosse, Coralie Wysoczynski Valérie Gadrat, Yvette Lafosse, Claire Sowinski, Coralie Wysoczynski Disponible à cette adresse : https://zenodo.org/record/3533025#.Xd49l9XjI2x Julien Barde Eric garnier Dominique Vachez Clément Jonquet Dominique Vachez Marie-Claude Quidoz Danielle Ziebelin Damien Maurice, Christian Pichot Véronique Chaffard Philippe Clastre Eric Garnier Danielle Ziebelin Damien Boulanger Jean-Christophe Desconnets Damien Boulanger Objectifs de formation Les objectifs scientifiques de l'école thématique consistent à l'acquisition des connaissances et des compétences du FAIR dans la gestion des grands jeux de données des sciences de l'environnement, notamment:
Organisation et contexte L'école thématique 2019 est coordonnée par l'infrastructure nationale AnaEE France et l'UMS BBEES avec la communauté des infrastructures du domaine de l'environnement dont RZA et OZCAR (eLTER France), ACTRIS, et le Pôle de données Système Terre. Elle vient compléter les objectifs et actions des pôles de données et du GDR Semandiv pour la contribution au Web sémantique.
Public visé par la formation Prioritairement : des chercheurs et des ingénieurs impliqués dans le développement de portails de données au sein des différentes infrastructures de recherche du domaine de l'environnement, notamment les personnels impliqués dans des projets nationaux ou Européens.
Conditions de participation: saisir son inscription dans le formulaire en ligne avant la date limite du 14 juillet pour une première sélection de tous les participants à la fin juillet par le comité d'organisation et le conseil scientifique de l'Ecole thématique. Les frais d'hébergement et de repas sont pris en charge par le budget de la formation du CNRS pour les agents CNRS participants quelque soit leur grade et origine, à hauteur de 25 participants au total. Les frais d'hébergement et de repas seront facturés aux agents non CNRS, même hébergés dans une unité mixte de recherche, à hauteur d'un coût complet estimé de l'ordre de 200-300 € pour la totalité de la formation et pour 15 participants. La plateforme de paiement sera ouverte pour les agents non CNRS une fois leur dossier de candidature retenu. Information de dernière minute: une première liste de 32 inscrits a été sélectionné à la mi-juillet, les inscriptions resteront ouvertes jusqu'au début septembre pour les personnes n'ayant pas soumis un dossier de candidature avant l'été. Version papier du programme La version complète du programme est disponible en ligne: Programme final Le formulaire d'évaluation : https://apps.mnhn.fr/enquetes/index.php/survey/index/sid/272967/newtest/Y/lang/fr |